Rhinospray Nez qui coule (ipratropium) est un médicament, à utiliser à partir de 12 ans. Ne pas utiliser pendant la grossesse et l’allaitement, sauf sur avis médical. Lisez attentivement la notice et demandez conseil à votre pharmacien. Pas d’utilisation prolongée sans avis médical. Opella Healthcare Belgium MAT-BE-2200613
Nez qui coule durant un rhume ?
Rhinospray Nez qui coule a une formule qui vous libère efficacement et durablement de votre nez qui coule durant 6 heures.
Rhinospray Nez qui coule soulage votre nez qui coule durant un rhume !
Convient aux enfants à partir de 12 ans.
Adultes
- 2 pulvérisations successives (= 84 microgrammes de substance active) dans chaque narine, 3 à 4 fois par jour.
- Population pédiatrique
- Enfants à partir de 12 ans : 2 pulvérisations successives (= 84 microgrammes de substance active) dans chaque narine, 3 à 4 fois par jour.
- Les données actuellement disponibles ne sont pas suffisantes pour recommander l'administration aux enfants de moins de 12 ans.
Mode d’administration
- Enlever le capuchon en plastique du spray nasal.
- Pour amorcer la pompe, tenir le flacon le pouce sur le fond, l'index et le majeur de chaque côté de l'embout nasal. S'assurer que l'embout est tenu verticalement et qu'il n'est pas dirigé vers les yeux. Presser fermement et rapidement quelques fois. La pompe est ainsi amorcée et peut fonctionner. Elle ne devra être réamorcée qu'en cas de non utilisation pendant plus de 24 heures ; réamorcer la pompe ne demandera qu'une ou deux pressions.
- Avant d'utiliser Rhinospray Ipratropium, dégager les narines en se mouchant.
- Fermer une narine en appuyant un doigt sur le côté du nez, pencher la tête légèrement en avant et insérer l'embout nasal dans l'autre narine.
- Presser fermement et rapidement. Après chaque pulvérisation, inspirer profondément par le nez et expirer par la bouche.
- Relever la tête légèrement en arrière après chaque pulvérisation de façon à ce que la solution couvre le fond de la muqueuse nasale.
- Répéter les points 4-5-6 pour l'autre narine.
- Replacer le capuchon de protection.
Si l'embout nasal est souillé, il y a lieu de le rincer à l'eau courante chaude pendant 1 minute, après avoir retiré le capuchon en plastique. Sécher l'embout nasal, réamorcer la pompe (voir point 2) et replacer le capuchon.
La plupart des effets indésirables peuvent être attribués aux propriétés anticholinergiques de Rhinospray Ipratropium. Comme tout traitement topique, Rhinospray Ipratropium peut entraîner des irritations locales. Les effets indésirables ont été identifiés sur base des données issues d’études cliniques et de la pharmacovigilance durant la période d’utilisation suivant l’approbation du médicament.
Les effets indésirables les plus fréquents rapportés lors des études cliniques sont: épistaxis, sécheresse nasale, céphalées, inconfort nasal et irritation de la gorge.
Les effets indésirables sont classés par fréquence, selon la convention suivante: très fréquent (chez plus de 1 patient sur 10) ; fréquent (chez 1 à 10 sur 100 patients) ; peu fréquent (chez 1 à 10 sur 1.000 patients) ; rare (chez 1 à 10 sur 10.000 patients) ; très rare (chez moins de 1 patient sur 10.000).
Affections du système immunitaire
peu fréquent : réaction anaphylactique, hypersensibilité
Affections du système nerveux
fréquent : céphalées
peu fréquent : étourdissements
Affections oculaires
peu fréquent : troubles de l’accommodation (visuelle), mydriase, augmentation de la pression intraoculaire, glaucome, douleur oculaire, vision trouble, halo, hyperémie de la conjonctive, œdème cornéen
Affections cardiaques
peu fréquent : tachycardie supraventriculaire, fibrillation auriculaire, augmentation du rythme cardiaque
rare : palpitations
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
fréquent : épistaxis, sécheresse nasale, irritation de la gorge, inconfort nasal
peu fréquent : sécheresse de la gorge, bronchospasme, spasme laryngé, œdème pharyngé
Affections gastro-intestinales
peu fréquent : sécheresse de la bouche, nausées, troubles de la motilité gastro-intestinale, œdème buccal, stomatite, sensation de brûlure
Affections de la peau et du tissus sous-cutané
peu fréquent : rash, angio-oedème
rare : urticaire, prurit
Affections du rein et des voies urinaires
peu fréquent : rétention urinaire